Souvenez vous. C’était le 1er juillet 2016. Au seuil de l’inauguration du 2ème poulailler municipal et du 30ème anniversaire de l’ouverture de la résidence Gauraz, un premier forfait avait été accompli dans la nuit.
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Lundi matin, 25 juillet 2016, stupeur à la mairie Monique Saillet: des 7 pensionnaires du poulailler municipal situé devant la mairie Monique Saillet, une seule était encore vivante, 5 gisaient mortes et le coq avait disparu.
Une enquête a été ouverte. Si une réquisition du parquet l’exige, un officier de police judiciaire viendra saisir les enregistrements de la vidéo-surveillance. Il y a en effet une caméra (numérique, sur une tourelle motorisée, haute définition et dotée de LED infra-rouges) qui surveille ce poulailler.
Sans attendre le résultat de cette enquête, les services techniques ont rehaussé les barrières et installent un projecteur commandé par un détecteur de présence.
Pour rappel, ce poulailler avait été inauguré avec les 5 premiers pensionnaires le 8 juin, voir l’article dans le journal Le Républicain, et 2 nouvelles pensionnaires étaient arrivées, avec une cabane supplémentaire, le 10 juillet.
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Le renard à un réflexe de « déplumage » de ses proies. Il adore manger la base des plumes. Ayant vu les cadavres le matin du « carnage » je ne peux que penser à autre chose. J’attends les suites…
Merci pour le commentaire. On peut effectivement penser à du vandalisme.
Les images de la caméra sont inutilisables sauf pour savoir que le forfait à été commis entre l’extinction et le rallumage des lampadaires. Les led infra rouges de la caméra sont insuffisantes pour cette distance.
Quand bien même la lumière aurait été suffisante, la résolution des images ne permet pas d’identifier un individu au sens du juge.
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