Dans sa grande sagesse, le conseill général n’a pas abordé l’impact de sa déviation sur la circulation des bus. Il y a pourtant 150 mouvements de bus devant la gare de Mennecy chaque jour ouvrable, pour rabattre les passagers de 55 trains.

D’où un travail « à l’arrache » pour créer un nouvel arrêt rue de l’Abreuvoir, juste au moment où les bordures de trottoir étaient posées, et maintenant de l’improvisation pour communiquer.

Une façon positive de voir les choses, c’est que nous démontrons qu’un point d’arrêt peut être créé en 30 minutes par une décision partagée entre les acteurs de terrain, alors qu’il faut 3 années quand on le fait dans la règle de l’art, sous le contrôle de l’administration du STIF. On peut aussi en conclure qu’on pourrait rediriger l’argent servant à payer cette administration vers des nouveaux bus, des nouveaux trains ou une rénovation de l’infrastructure pour le bénéfice des usagers galériens du RER.

Cliquer sur l’image pour ouvrir le PDF