Ce n’est probablement pas 1,5 millions d’adhésions à l’idée de tuer. Je pense qu’il s’agit 1,5 millions de personne qui interpellent le gouvernement sur une question toute simple à propos de la réforme de la justice pénale: et les victimes?
S’il y a justice, alors en face du délinquant il doit y avoir une place pour la victime, et même une réforme pour éviter qu’il y a encore d’autres victimes.