Atterissage en vrac: 

C'est vrai qu'un atterrissage est réussi quand l'avion peut repartir par ses propres moyens, après que les passagers aient débarqué aussi par leurs propres moyens. Mais tout de même...

Et puis, un peu d'admiration pour les concepteurs du logiciel de commandes de vol, qui normalement change de mode dès qu'une jambe de train d'atterrissage est comprimée par le poids de l'avion. Les changements ont été ici particulièrement nombreux, rapides, et très probablement assez éloignés des conditions prévues par les spécifications et de validation pendant les essais de l'avion.

A moins que cette activité intense des gouvernes de l'avion n'ait été provoquée par une perte de contrôle de l'avion par les calculateurs. Sur le Boeing 777 en effet, le pilote exprime avec ses commandes ce qu'il souhaite faire avec l'avion, mais c'est l'ordinateur qui actionne les commandes, en essayant dans la mesure du possible de répondre aux souhaits du pilote, et en suivant les règles implantées par le constructeur.

J’ai toujours dit qu’il faut un nombre pair de bogues pour qu’un système fonctionne.